« La question agricole n’a peut-être jamais été autant stratégique qu’aujourd’hui. L’actualité de ces derniers mois nous l’a rappelé avec force. Une partie de la planète a encore faim et la population mondiale croît encore.

Il devient urgent de préserver nos ressources mêmes renouvelables telles l’eau douce dont les prélèvements dépassent les retours naturels et l’utilisation des terres arables parfois dégradées par une exploitation intempestive ou des affectations qui les soustraient à la production. Les énergies fossiles s’épuisent et deviennent chères et il faut développer rapidement des alternatives. L’agriculture est au carrefour de tous ces enjeux : alimentaires, environnementaux, énergétiques. Les défis sont immenses mais sans doute pas insurmontables.

Pourtant, l’avenir de l’activité agricole n’a jamais été aussi incertain. Les prix de certaines matières premières ont certes augmenté ces derniers mois de façon spectaculaire, mais ils n’ont sans doute jamais été si volatiles. Si certains secteurs peuvent ponctuellement en bénéficier, d’autres en subissent déjà les contrecoups et globalement, l’évolution chaotique des prix déstabilise toutes les agricultures dont les équilibres économiques s’inscrivent structurellement sur le moyen et le long terme. Parallèlement, les politiques de régulation tendent à s’effacer, amortissant d’autant moins les effets pervers d’un marché devenu mondial. En Europe, la réforme de la PAC prévue

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à l’horizon 2013 laisse présager notamment un recul du premier pilier au profit du second dans un jeu de vases communicants mal défini.

Face à ces défis agricoles qui nous concernent tous et en ce début de présidence française de l’Union européenne, au moment même du bilan de Santé de la PAC, nous avons souhaité nous engager dans ces débats en soulignant combien une approche davantage territorialisée de l’agriculture pouvait être un levier pour répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain.

Cette lettre apporte quelques premiers éclairages :

Christiane LAMBERT, vice-présidente de la FNSEA, montrera d’abord combien la vitalité de nos campagnes attractives demeure intimement liée au développement agricole et qu’il convient donc de soutenir ces dynamiques complémentaires.

Gilles LEMAIRE, chercheur à l’INRA et président du conseil scientifique de FARRE, montrera ensuite tout l’intérêt d’une agronomie davantage territorialisée.

Frédérique ROSE, du réseau TRAME, soulignera enfin combien les agriculteurs s’impliquent et innovent déjà dans leurs territoires en dépassant certaines de leurs problématiques.

Nous poursuivrons à l’automne cette réflexion en l’élargissant à l’échelle mondiale. Au cours de nos assises, nous débattrons ainsi de l’intérêt d’un futur agricole davantage territorialisé avec des agriculteurs français et étrangers, des agronomes et des personnalités engagées.

Je vous souhaite donc une bonne rentrée et vous attends, le 9 octobre prochain, à nos traditionnelles assises d’automne. »

Michel LEDRU, président de Sol et Civilisation

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« Sol et Civilisation a eu l’opportunité, avec le concours de Suzanne Mériaux et Maurice de Vaulx, de participer au mois de mai dernier à une séance de l’Académie d’Agriculture de France sur le thème « Sol et Culture : du sol aux territoires ».

Cette séance faisait suite à une première rencontre intitulée « Sol et Culture » où étaient évoqués les liens étroits entre le « cultural » et le « culturel ». Les orateurs avaient alors souligné combien le rapport au sol était essentiel pour l’Homme. Cette Lettre en reprend ainsi les principales interventions.
Suzanne Mériaux, membre de l’Académie d’Agriculture de France, s’interroge sur les rapports de l’homme à la terre et se dit convaincue que cette relation est constitutive de l’être, et qu’il y a, de ce fait, une ardente nécessité de « re-territorialisation ».
Pascal Legras, agriculteur sur la ville nouvelle de Sénart et fidèle de notre association, revient sur l’histoire du plateau agricole de Sénart qui a muté en quelques années en « ville nouvelle ». Il souligne combien notre récent développement nous a fait oublier le « territoire » mais aussi combien il est important aujourd’hui de le réinvestir et comment l’agriculture peut en être un vecteur.
Claude Beaufort, journaliste et consultant, ami et voisin de Gérard de Caffarelli, qui vient de mener pour le compte du Pays de Thiérache une étude sur les conditions de son développement s’interroge, quant à lui, sur l’importance stratégique du territoire pour construire des projets durables. Maurice de Vaulx, membre également de l’Académie d’Agriculture de France et de notre comité d’orientation, propose enfin quelques conclusions éclairantes.
Je vous souhaite une bonne lecture et un bel été. »

Michel Ledru, président de Sol et Civilisation

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 » La ruralité et l’agriculture ne font plus face aux mêmes défis qu’il y a quinze ans. Nouvelle attractivité, conjoncture économique récemment plus favorable, l’espace agricole et rural se porte visiblement mieux. Les difficultés, si elles changent de nature, ne sont pas moins bien présentes. La libéralisation des marchés agricoles et l’urbanisation croissante bouleversent aujourd’hui la vie et les équilibres à long terme des campagnes.

Les sujets de réflexion de l’association Sol et Civilisation ne sont donc pas clos et je les résumerais aujourd’hui par deux interrogations :
Comment, dans un monde de plus en plus ouvert, de plus en plus complexe, de plus en plus urbain, peut-on construire un développement rural équilibré, basé sur une économie locale solide, une identité préservée, des relations

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sociales sereines, un environnement préservé ?

Comment créer dans nos territoires les conditions d’un « meilleur vivre ensemble » alors que la compétition économique devenue mondiale assèche nos relations, les conflits d’usage enveniment nos rapports, les biens qui nous sont communs sont négligés ?
Dans ce cadre, la place et le rôle de l’agriculture restent pour nous une préoccupation centrale. C’est en effet une activité aux multiples qualités – patrimoniale et culturelle, économique, sociale, environnementale -, qui donne à l’évidence le pouls de la ruralité française et européenne. La période que nous vivons et que nous venons brièvement de décrire avec ces deux moteurs que sont la mondialisation et l’urbanisation, l’affecte en premier chef et nous ne pouvons penser une ruralité vivante sans penser à l’avenir de l’activité agricole.
Or, cette dernière vit justement une phase de mutations et d’ajustements sans précédent. Certes, c’est le propre de toute activité de s’adapter et d’évoluer, mais il me semble aujourd’hui qu’elle doit faire face à des changements extrêmement rapides et qu’elle doit trouver, dans un laps de temps court, des solutions à des problématiques de plus en plus complexes. Doit-on se résoudre au développement d’une agriculture duale : une agriculture de production standard d’une part, sans lien étroit avec son territoire mais forte sur les marchés mondiaux, et une agriculture de niche d’autre part, territorialisée mais relativement confidentielle ?
Sol et Civilisation a donc abordé plus précisément cette question et a voulu s’interroger sur les éléments possibles d’une autre stratégie agricole où pourraient se conjuguer qualité, quantité, territoire et filière.

Nous avons eu l’opportunité de nous appuyer pour cela sur un groupe d’étudiants de l’Institut National Agronomique Paris-Grignon, qui dans leur cursus doivent suivre un enseignement pratique visant à les mettre en situation d’ingénieur. Nous leur avons alors proposé de mener une réflexion sur le bassin laitier haut-normand.
La restitution de ces travaux a fait l’objet d’un colloque en décembre 2007 à la Cité d’agriculture de Seine-Maritime et fut complétée par le regard de plusieurs acteurs-clé. Je vous invite à lire dans les pages qui suivent une synthèse de cette rencontre ainsi qu’un article complémentaire sur le travail de prospective « Agriculture 2013 » conduite par l’Inra en 2007.
L’année 2008 sera stratégique pour notre agriculture. La présidence française à l’Union européenne et le bilan de la PAC à mi-parcours seront en effet des temps forts qu’il ne faudra pas manquer. Sol et Civilisation espère ainsi avec cette première Lettre de l’année contribuer à une nécessaire réflexion collective pour envisager un projet agricole français et européen d’avenir. »

Michel Ledru, Président de Sol et Civilisation

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Cette Lettre est spécialement dédiée à nos 16es Assises qui ont eu lieu le jeudi 11 octobre 2007 sur le thème « Innover ensemble dans nos territoires, les ruraux relèvent le défi ».

Le territoire, espace et ressource de mobilisation et de projet, peut jouer un rôle moteur dans la compétition économique devenue mondiale mais de nombreuses questions restent posées :
– En quoi le milieu rural est-il source de nouvelles valeurs ajoutées ?
– Comment construire des partenariats durables entre des acteurs divers ?
– Quels sont les outils qui permettent une réelle dynamique territoriale ?

Cette intelligence de l’action en commun comme la construction de nouveaux projets économiques territoriaux, de nombreux acteurs la mettent déjà en pratique. Du plus local au plus global, les initiatives en provenance du monde rural insufflent de nouveaux champs de débats et créent de nouveaux liens.

 

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« Au cours des récentes années, Sol et Civilisation a eu l’opportunité de montrer à travers les Assises 2004 et de confirmer sur le terrain, que ce soit en Biélorussie sur les territoires contaminés, en Albanie à Voskopojë, ou en Tunisie, combien la problématique de gestion des territoires se posait bien ailleurs qu’en France et que pour la plupart des territoires ruraux, le développement d’une économie agricole performante en constituait un élément clef.

 

Ces expériences ont également permis de mesurer l’intérêt que peuvent représenter pour de nombreux territoires de pays en développement ou émergents, les approches proposées par Sol et Civilisation en terme de gouvernance et celles mises en œuvre de longue date par

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Fert pour le développement agricole.

Ces dernières sont notamment fondées sur l’expérience de l’agriculture française, dont une des caractéristiques les plus marquantes réside dans l’engagement des agriculteurs prenant en charge les organisations nécessaires à l’exercice efficace de leur métier. De telles actions de coopération internationale ne peuvent être conduites qu’avec la contribution effective des professionnels agricoles qui apportent leur savoir faire dans ce domaine, ce qu’ils font depuis de nombreuses années notamment aux côtés de Fert.
La persistance et l’acuité croissante des besoins de développement économique d’une proportion importante de la population mondiale, et la relation de plus en plus évidente de ce développement avec de nouvelles formes adaptées de gestion des territoires, rendent très pertinente la convergence des actions développées par Sol et Civilisation et Fert. L’intérêt de leur poursuite, voire de leur extension sont une évidence.
Or ces actions sont très liées à l’engagement des professionnels agricoles français dont le savoir faire en est un élément clef, mais pour qui ce type d’action peut ne pas entrer nécessairement dans les objectifs prioritaires.
Sol et Civilisation, soucieuse de découvrir et tester des méthodologies pouvant enrichir ses modes d’actions, a mis en œuvre avec Fert un exercice de prospective visant à évaluer ce que pourrait être à l’échéance de 10 ans l’engagement des organisations professionnelles françaises dans la coopération agricole internationale.
Il nous est apparu intéressant d’en livrer dans cette lettre les principaux enseignements et de laisser quelques partenaires de cette étude nous donner leurs commentaires. Nous évoquerons enfin deux rapports récents d’organisations internationales qui traitent de l’agriculture dans le développement. »

Michel Ledru, Président de Sol et Civilisation

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« Notre société perçoit essentiellement l’agriculture au travers de son rôle de production et d’alimentation. Certes, ce rôle est précieux et primordial et le restera toujours. Il est aujourd’hui souvent entaché et dénigré (pollutions, impact sur l’environnement). Il est urgent de prendre conscience que les missions de l’agriculture sont plurielles. En réfléchissant aux relations entre agriculture et société face au vivant, nous devons nous pencher sur les avancées que nous proposent les agrobiosciences. Des voies nouvelles nous sont peut-être ouvertes, si nous savons être présents et participants.

 

Par ailleurs, vivant en pleine nature, conscients de leur place irremplaçable dans l’entretien des territoires, les agriculteurs ont à partager des biens, l’eau en particulier à tous et pour tous. Il est bon de se situer dans le grand circuit de l’eau sur Terre, de prendre connaissance des richesses, des manques, des gaspillages pour envisager une politique partagée par tous.
De la même manière le paysage, certes façonné par des générations d’hommes de la terre, devient une richesse à partager. Chacun, selon sa situation, son âge, son mode de vie, ses convictions spirituelles l’interprète différemment. Quel bienfait de pouvoir se le dire pour comprendre et contrer des barrières, certes virtuelles, mais qui sont à l’origine des guerres de voisinage, ou nous installent en
concurrents. Le paysage appartient à tous.
Ces trois réflexions successives ouvrent des chemins d’avenir pour trouver la place de l’agriculture dans la société. Notre place existe, nous devons le faire savoir, le faire apprécier avec des thèmes renouvelés.
L’agriculture a toujours été très partie prenante et fondatrice du milieu rural. Avec un nombre d’agriculteurs en diminution constante qu’advient-il ? Qui parle actuellement du milieu rural ?
Cela ne figurait pas dans les questions exposées lors des dernières échéances électorales à part l’énoncé du retrait de quelques services publics en milieu rural. Ceux qui y séjournent en vacances ou qui viennent y construire se font conquérants, avec des réflexes citadins mal appropriés. La ruralité existe, dépositaire d’un mode de vie et de valeurs propres que nous avons à partager, anciens et nouveaux venus sont ceux qui peuplaient les nombreux lotissements de nos petits bourgs, comme ceux qui s’installent dans nos usines et nos fermes abandonnées.
La ruralité est proximité, diversité, communauté, convivialité, simplicité. Elle est porteuse de beauté, d’authenticité, de vie cachée, de vie sauvage, de patrimoine, de paysage. Les lieux, l’écoute, l’accueil y sont vrais, ou plus proches à créer et à entretenir. Mais il n’y a pas de génération spontanée à ce bien vivre en rural, et le laisser faire peut conduire à des incompréhensions ou des affrontements.
Avec des expériences régionales, européennes, nous avons réfléchi à ce concept.
L’agriculture, porteuse du vivant et d’avenir
La ruralité porteuse d’espoir pour la société

Cela le sera si nous voulons être présents, inventifs, dans les nouvelles expressions de la vie rurale. »

Marie-Thérèse Lacombe, Groupe de Camboulazet

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Ces dernières années, la qualité du système de santé en milieu rural est devenue un enjeu majeur pour l’attractivité et la vitalité des campagnes. Pour maintenir une offre de santé de proximité, les défis à relever sont nombreux.


Les 15es assises se sont attachées en premier lieu à dresser un état des lieux du système de santé dans les milieux ruraux et à montrer à travers des témoignages quelques innovations intéressantes. Cette notion de santé de proximité pose la question du territoire comme nouvel espace de l’action. Cette problématique a été dans un deuxième temps le sujet d’une table-ronde.


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« C’est autour de Raymond Lacombe, Président fondateur de Sol et Civilisation, que s’est constitué ce qu’on appelle le « groupe de Toulouse » parce que ce groupe a été accueilli à Toulouse par l’ École Supérieure d’Agriculture de Purpan et par son directeur de l’époque, Pierre Tapie.

 

Se réunissant à Toulouse à partir de 2001, le groupe de réflexion s’est donc composé pour l’essentiel de personnes travaillant en Midi-Pyrénées et se reconnaissant dans la double mouvance du développement territorial rural et de la pensée de Raymond Lacombe, leader agricole charismatique, trop vite disparu en février 2002. C’est au demeurant celui-ci, qui a assuré avec énergie et dynamisme la véritable animation du groupe, autour d’un sujet qui lui était cher : « entreprendre en milieu rural ».
Les participants à cette réflexion étaient issus des institutions agricoles mais aussi de l’appui au développement et de la formation. Le groupe a auditionné diverses expériences de terrain et s’est progressivement forgé une logique commune exposée au cours d’un colloque qui s’est tenu à l’ESA Purpan en novembre 2001 et dont les principales conclusions ont été rapportées dans la lettre de Sol et Civilisation n° 22 et au cours des Assises nationales de septembre 2002.
La conclusion essentielle de ces travaux était de mettre le projecteur sur ce qui semblait le principal obstacle au fait d’entreprendre en milieu rural, à savoir le cloisonnement et les dysfonctionnements entre les acteurs (entreprises, associations, élus). Le développement économique en milieu rural n’est pas seulement une question d’opportunités ou de positionnement judicieux mais également le fruit d’une bonne gouvernance territoriale.
Après une période de transition, le groupe de Toulouse s’est remis au travail. Dans la continuité des réflexions antérieures, il a semblé opportun de creuser plus particulièrement une question qui se pose aujourd’hui de manière cruciale aux acteurs ruraux, celle de la gestion des ressources humaines dans le territoire.
Pour mettre en œuvre cette réflexion, le groupe dit « de Toulouse » s’est ouvert à d’autres membres et a reconduit sa méthode : auditions d’experts et témoignages, travaux collectifs, publications. Vous trouverez dans les pages suivantes le fruit de cette première phase
d’investigation : un article introductif situe l’intérêt de cette question, trois exemples en illustrent des aspects différents et un dernier article en tire les enseignements préliminaires.
A l’heure

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où la concurrence entre territoires est de plus en plus forte, au moment où le monde se complexifie davantage chaque jour, la richesse humaine des milieux ruraux constitue, à n’en point douter, une force de premier plan pour ces territoires s’ils souhaitent vivre et se développer. Il serait vain de croire pourtant que ce potentiel humain se maintient de lui-même. La rapidité des changements, la plasticité des évolutions font qu’il faut sans cesse s’adapter. Là encore, la réponse semble se trouver dans l’émergence d’une gouvernance adaptée associant les différents acteurs. »

René Caspar,
Pour le Groupe de Toulouse

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Cette Lettre est dédiée à une synthèse d’une cycle de conférences portant sur les approches et des modes d’action en univers complexe. Ce thème de réflexion initié par la nécessité de nouvelles méthodes de prise en charge de la complexité des situations auxquelles notre société est confrontée, se trouve brutalement rattrapé l’actualité dramatique que constitue la grève de la faim entreprise par Jean Lassalle depuis le 7 mars 2006.

Jean Lassalle est membre du Comité d’Orientation de Sol et Civilisation; Investi de plusieurs mandats électifs locaux, nationaux et internationaux, il est confronté à la complexité du vivant à tous les niveaux, à partir du territoire qu’il représente.

Pour une meilleure compréhension des enjeux liés à la gestion du vivant, nous avons souhaité poursuivre en inscrivant notre réflexion dans un cadre plus large : comment peut-on finalement aujourd’hui comprendre et agir dans des univers de plus en plus complexes ?
Quatre intervenants nous apportent un éclairage de première qualité : Dominique Genelot, consultant en entreprise, Meyer Ifrah, consultant, Henry Ollagnon, professeur à l’AgroParisTech et enfin Bruno Latour, sociologue.

 

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Depuis quelques années, de multiples crises révèlent des problèmes liés à la gestion du vivant : risques naturels, crises alimentaires,  dégradation de la qualité de milieux, pollutions diverses. Nos 14èmes assises se sont attachées en premier lieu à montrer, au travers de témoignages, la diversité de ces problématiques pour mieux souligner les points communs.

 

Il semble en effet que ces questions ne se contentent pas de reprendre sous de nouvelles formes les problèmes d’environnement ou de protection de la nature, elles nous interrogent plus profondément sur notre capacité à gérer, seul et ensemble, des biens qui nous sont communs. Nous avons alors souhaité dans une deuxième partie nous interroger plus précisément sur les modalités d’une réelle prise
en charge.

 

 

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